« Le métavers est mort ? Longue vie aux univers virtuels ! » L’essoufflement du métavers de Meta ne saurait masquer le dynamisme des secteurs des technologies immersives et de la production virtuelle qui, à moindre bruit, construisent de nouvelles fondations pour des univers virtuels de confiance, interopérables et nativement décentralisés. On vous invite à les explorer, en compagnie de nos experts, le jeudi 18 janvier 2024 lors de notre soirée Haute Densité !

La crise des cypto-actifs et l’ascension fulgurante des technologies d’intelligence artificielles génératives sont-elles en train de sonner définitivement le glas des métavers ? Pas sûr, tant les récentes avancées réalisées dans les domaines des technologies immersives et de la production virtuelle sont importantes.

Plus qu’à la « fin des métavers », c’est en fait à l’essoufflement d’une certaine vision du métavers - centralisé, unifié et visant une position monopolistique - que l’on assiste. Il convient donc de « ne pas jeter le bébé Métaversique avec l’eau du bain de Facebook » comme le précisent les auteurs de la Mission exploratoire sur les métavers, dans leur rapport publié en octobre 2022.

Partant de ce constat, à quoi ressembleront les univers virtuels de demain ? Sur quelles briques technologiques reposeront ils ? Comment l’évolution des technologies immersives en favorisera-t-elle l’adoption ? Le boom des IA génératives pourra-t-il répondre aux manques de contenu décriés par certains observateurs ? La puissance de calcul nécessaire au développement d’univers virtuels interactifs et massivement multijoueur sera-t-elle également au rendez-vous ?

Et plus globalement, si l’avenir des univers virtuels s’oriente vers une pluralité de mondes interconnectés, comment réussir le pari de l’interopérabilité, de l’adoption de standards ouverts et de la conception d’une infrastructure technique nativement décentralisée ?

Autant de questions que nous explorerons le jeudi 18 janvier à 18h pour ce nouvel événement de notre cycle de conférences HAUTE DENSITE.

Univers virtuels : et si la clé, c’était l’interopérabilité ?