Publique et dénonciatrice, la parole se formule sous couvert d'une communauté d'internautes. Intime, elle s'affiche dans le domaine public. Accusatrice, elle se dérobe, pourtant, à la constitution d'une plainte. Prise dans ses contradictions, elle se vide de sa substance et faillit à représenter le sujet. Ultracommuniquée, la parole est à la fois vidée de son contenu mais aussi renforcée du dogme du Bien-Être.

Quelles sont les impasses du sujet du XXIè siècle ?

Le parti pris, ici, est d'envisager en quoi une éthique, celle des philosophes et psychanalystes, peut constituer une réponse à ce malaise.

Christine Modeste, psychanalyste, psychologue et chargée d’enseignement vacataire à l'Université de la Réunion, conduit cette réflexion en une série de 6 conversations.

Salle recherche de l'IAE - 24 avenue de la Victoire, 97400 Saint-Denis

De 10h à 11h30 les 15/02, 07/03, 28/03, 18/04, 16/05, 13/06