finissage | projection de courts-métrages

Rejoignez-nous le samedi 8 novembre 15-19h (exposition ouverte dès 12h) pour le finissage de l’exposition 𝒈𝒉𝒐𝒔𝒕𝒍𝒚 𝒅𝒊𝒔𝒕𝒊𝒍𝒍𝒆𝒅 𝒎𝒂𝒕𝒕𝒆𝒓𝒔 — avec une visite guidée, une projection de courts-métrages et la distribution participative d’une œuvre in situ.

𝟏𝟔𝐡 — projection de quatre courts-métrages, en présence de 𝐫𝐲𝐮 𝐢𝐤𝐚 et 𝐥𝐢𝐮 𝐠𝐮𝐚𝐧𝐠𝐥𝐢.

𝐫𝐲𝐮 𝐢𝐤𝐚 | Mother’s tongue, father’s body (2025), 2’30’’

𝐥𝐢𝐮 𝐠𝐮𝐚𝐧𝐠𝐥𝐢 | When the Sea Sends Forth a Forest (2020), 21’10’’

𝐩𝐡𝐮𝐨𝐧𝐠 𝐭𝐡𝐚𝐨 𝐧𝐠𝐮𝐲𝐞𝐧 | First Light (2024), 27’

𝐰𝐚𝐧𝐠 𝐲𝐮𝐲𝐚𝐧 | Look On the Bright Side (2023), 17’

Les quatre films projetés déploient des récits autour de l’appartenance, de la mémoire et de l’existence humaine à l’ère du numérique.

De la quête d’identités fragmentées et des ruptures culturelles à la reconstitution imaginative d’une histoire perdue et traumatique, en passant par les mémoires mouvantes de familles transnationales jusqu’aux paysages futuristes dominés par la lumière et les machines, ces œuvres esquissent une condition humaine oscillant sans cesse entre le mutisme, déracinement et la numérisation.

Ensemble, elles composent une chaîne temporelle allant de la terre aux données, de la chair à la lumière, interrogeant la manière dont, dans un monde privé d’ancrages et d’ombres, nous pouvons encore ressentir, résister à l’oubli et exister.

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Join us on saturday, november 8, 3–7 p.m. (exhibition open from 12 p.m.) for the closing of the exhibition 𝒈𝒉𝒐𝒔𝒕𝒍𝒚 𝒅𝒊𝒔𝒕𝒊𝒍𝒍𝒆𝒅 𝒎𝒂𝒕𝒕𝒆𝒓𝒔 — featuring a guided tour, a short film screening, and the participatory distribution of an in situ artwork.

𝟒 𝐩.𝐦. — Screening of four short films, in the presence of 𝐫𝐲𝐮 𝐢𝐤𝐚 and 𝐥𝐢𝐮 𝐠𝐮𝐚𝐧𝐠𝐥𝐢.

𝐫𝐲𝐮 𝐢𝐤𝐚 | Mother’s tongue, father’s body (2025), 2’30’’

𝐥𝐢𝐮 𝐠𝐮𝐚𝐧𝐠𝐥𝐢 | When the Sea Sends Forth a Forest (2020), 21’10’’

𝐩𝐡𝐮𝐨𝐧𝐠 𝐭𝐡𝐚𝐨 𝐧𝐠𝐮𝐲𝐞𝐧 | First Light (2024), 27’

𝐰𝐚𝐧𝐠 𝐲𝐮𝐲𝐚𝐧 | Look On the Bright Side (2023), 17’

The four films being screened unfold narratives of belonging, memory, and human existence in the digital age.

From the search for fragmented identities and cultural ruptures to the imaginative reconstruction of a lost and traumatic history; from the shifting memories of transnational families to futuristic landscapes dominated by light and machines, these works trace a human condition constantly oscillating between mutism, rootlessness, and digital mediation.

Together, they form a temporal chain stretching from land to data, from flesh to light, questioning how, in a world increasingly deprived of anchors and shadows, we might still sense, resist forgetting, and exist.