Cercle de parole - "Sexualité et carcans"

Dans le cadre de l'évènement "Jardin des complices" qui aura lieu au Jardin 21 le 18 mai prochain, je vous propose un cercle de parole bienveillant pour déposer ce qui vous empêche de vous sentir 100% libre dans votre sexualité.

Qu’est-ce qui m’empêche d’être complètement libre dans ma sexualité ?
Comment assumer sa sexualité dans un monde où elle reste tabou ? Quels sont les origines de ces interdits qui me contraignent ?

Je vous propose un espace bienveillant pour exprimer ce que sont vos carcans et, grâce à la force du groupe, peut-être vous en libérer et aborder les choses autrement.

Et si se sentir libre dans sa sexualité permettait de se sentir libre avec soi ?

Le principe du cercle de parole est le suivant : les participants sont invités à prendre la parole à tour de rôle en évoquant d’une manière libre ce que le thème évoque pour lui. Le groupe créé un cercle d’écoute. Il n’y a ni apport théorique, ni échange, ni intervention. Chacun dispose du même temps de parole sans être interrompu.

Le cercle de parole n’est pas un débat. Un moment d’échange peut avoir lieu après l’atelier pour ceux qui le souhaitent.

Cet atelier est ouvert à toute personne désireuse d’y participer, et sans pré-requis. Ouvert à 6 participants.

Sur participation libre et consciente. En cash ou lydia sur place.


Je suis Margaux Ranger, animatrice d'ateliers de groupe et facilitatrice.
Passionnée d’intelligence collective et d’écriture, j'aime créer des cadres permettant à chacun de se découvrir et d’explorer ses singularités.

En m’exprimant par des mots (à l’écrit ou à l’oral), je prends conscience de ce qu’il y a à l’intérieur de moi : mes joies, mes désirs, mes aspirations, mes émotions, mes colères et mes peines. Par mon partage au groupe, je suis écoutée, reconnue. Cette expression prends de la valeur et me guide vers ce qu’il y a de plus juste pour moi.

Par ma présence au sein d’un groupe et mon écoute bienveillante, j’apprends des choses sur ceux qui m'entourent et je peux me positionner. C’est parce que l’autre existe que je prends conscience de mes différences, qui constituent ma singularité et ma force dans le monde. Par un effet miroir, je permets aussi à l’autre de mieux se connaitre.

Par cette expérience, je comprends que je suis nécessaire au groupe, autant que les singularités des autres sont indispensables au collectif.

J’apprends ainsi à prendre ma place et à croire dans le fait que mes forces nourrissent le monde.