« Nous, on a une conviction; c‘est que l’Autre, c‘est nous aussi. »

Quel lien entre une rumeur et la planification d’un génocide ? Comment faire pour que mon ennemi.e devienne l’ennemi.e de toutes les personnes dans cette pièce ? C’est avec ces questions là que nous démarrons généralement notre module sur la Déconstruction de la Haine de l’Autre.

Pendant 2h, les élèves sont mis au travail sur les préjugés, les discriminations, la diabolisation de l’Autre. Ils en ressortent en disant : « Je me pose des questions sur mon positionnement… de quel côté je serais ? »; « ça fait du bien d’en parler », « le plus important, c’est de se mettre la place de l’Autre. »

Vous souhaitez vivre ce module en accéléré ? Découvrir notre manuel pédagogique pour accompagner ce travail ? Rejoignez-nous pour ce petit-déjeuner thématique, en partenariat avec l'association belge Itinérances, sans croissant mais en toute bonne humeur !

À propos de Natacha Waksman :

Après dix ans passés dans la diplomatie, Natacha Waksman est aujourd’hui médiatrice.  Elle dénoue tensions et conflits essentiellement dans le champ du travail. Elle mène également des formations sur la gestion de conflit ainsi que des ateliers visant à la déconstruction des discours de haine. Elle est, par ailleurs, fondatrice du collectif de médiateurs Un Deux Tiers et de l'association Bibliothèque Vivante.

À propos de Citoyenneté Possible :

Association loi 1901 et organisme de formation agréé et datadocké fondée en 2006, Citoyenneté Possible travaille sur la déconstruction du préjugé. Avec une conviction : le langage est élément essentiel de cohésion sociale. La parole peut lier comme blesser et il nous semble essentiel d’en faire mesurer l’impact.