AU GAI SAVOIR URBAIN #1// L'imaginaire urbain et le prendre soin
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À propos de cet événement
AU GAI SAVOIR URBAIN #1 - L'imaginaire urbain et le prendre soin
Avec Michel Lussault, géographe I directeur de l'école urbaine de Lyon et Thierry Paquot, philosophe de l'urbain, Fabienne Brugère, Philosophe spécialisé en philosophie de l'art / philosophie morale et politique Pauline Marchetti et Jacques Ferrier, architectes
Le cinéma, tout comme les séries, trouvent dans l’urbain les conditions mêmes de son rapport au monde. L’urbain n’est aucunement un décor qui accueillerait des intrigues, mais il s’impose comme récit, récit choral témoignant des mille et une configurations existentielles propres aux urbains. Datapolitique, violences ordinaires, inégalités et ségrégations socio-spatiales, mal-être, mais aussi résistance zadiste, inventivité expérimentale, géopoétique de l’habiter, deviennent les matériaux de notre condition urbaine où s’affirme le prendre soin des lieux, des choses et des gens.
Au gai savoir urbain I Les assemblées éphémères
Il y a vingt ans paraissait le livre de Thierry Paquot et Michel Lussault : La ville et l’urbain, l’état des savoirs (La Découverte, 2000). Force est de constater que le monde, la société, ses valeurs et bien sûr la ville ont connu d’importantes mutations, les deux auteurs ont décidé de revisiter cet état des savoirs pour une nouvelle édition à paraître en 2021.
Image de ville propose au géographe et au philosophe de profiter de l’édition 2020 du festival pour, en une sorte d’université populaire provisoire, rendre publique ce « livre en chantier ». Des personnalités de multiples horizons participeront aux discussions autour des thèmes qui structureront le livre. Ces « assemblées éphémères » se dérouleront au Musée d’Histoire de Marseille pendant les Journées Nationales d’Architecture, lors de trois rendez-vous thématiques : L'imaginaire urbain et le prendre soin, Les pathologies de la vulnérabilité urbaines et Sortir de l'urbain écocidaire ?
écran L'ESPRIT DE LA VILLE
Comment le cinéma se saisit de l’âme d’une ville, cet esprit, cette “couleur” qui la rend unique, reconnaissable parmi les autres ? Comment épouse-t-il ses mouvements, ses soulèvements et ses effondrements ? Comment constitue-t-il une expérience de la ville singulière ?
A l'origine dédié à ce qui fait la singularité d'une ville en particulier (Rome lors de l'édition 2019 du festival), cet écran s'ouvre cette année, à l'occasion des Journées Nationales d'Architecture, plus généralement à ce qui « fait ville ».
>> Retrouvez tout le programme de l'édition du festival sur le site d'Image de ville.